Bonne Année Aya-kun
( Weiss Kreuz )





Titre :  Bonne Année Aya-kun
Auteur : Elfy
Chapitre : 1
Genre : Lisez et vous verrez ^^;
Couple :  « Aya X Yohji » - Oups pardon, Je vais me faire incendier par Val -Yohji X Aya
Disclamer :  A Part que c’est pour Val, je n’ai rien d’autre à dire.


Bonne Année Aya-kun


Les feux d’artifices se mirent à éclairer le ciel.
Des bleus…
Des rouges…
Des verts…
Et pleins d’autres.
C’était magnifique à regarder…
Des voix s’élevèrent….
- Bonne année !!!!!
D’autres voix firent en échos…
- Bonne année !!!!
Et la calvacade des embrassades, des vœux commença.
Aya Fujimiya se trouvait assis seul à une table d’un grand restaurant.
Que faisait-il là ?
Pourquoi n’était-il pas chez lui ?
Au moins il n’aurait pas à entendre tous ces vœux et à voir tous ces gens qui défilent et qui au passage lui souhaitait une bonne année dont il n’avait que faire !
Bonne année…bonne année….
La précédente avait été une catastrophe.
Il avait eut un pourcentage d’échec de mission d’au moins quarante neuf pour cent…
Bien entendu dont les seuls responsables étaient les Schwarz.
La plus part de ses compagnons s’étaient trouvés des petits amis que bien entendu il n’appréciait pas.
Lui, il était seul….
Il n’avait personne à aimer, personne à qui se confier.
Il y avait sa sœur….
Elle était enfin sortit du coma après si longtemps, pourtant c’était différent.
Aya était seul et se sentait parfaitement bien ainsi.
Si c’était réellement le cas, pourquoi avait-il la nostalgie ?
Pourquoi tous ces gens heureux l’énervaient-ils ?
Le jeune homme fit signe au serveur.
Ce dernier s’approcha et s’inclina.
- Bonsoir monsieur, je suis Tsasuki à votre service, se présenta t-il, en s’inclinant.
- Bonsoir, répondit Aya. Pourriez-vous m’apporter une bouteille de saké, répondit Fujimiya.
- Bien monsieur et avec cela ? interrogea le jeune serveur.
- Se sera tout merci, répondit le tueur.
Le serveur s’inclina puis disparu. Il revient quelques minutes plus tard avec une bouteille de saké et un verre.
- Voilà monsieur, je vous souhaite une bonne soirée et une heureuse année, lui dit.
- Hum, je vous remercie à vous aussi, fit Aya en écho.
Le serveur disparu.
Une bonne année !
En quoi serait-elle meilleurs que la précédente ?
Il verrait toujours les mêmes visages….
Ses ennemis demeureraient les mêmes…
Cela resterait telle quelle !
Alors en quoi pourrait-elle être bonne ?
Le roux se versa un premier verre, se souhaitant narquoisement une bonne année et l’avala d’un trait.
Il sentit l’alcool pénétrer tout son corps et le réchauffer.
Il se versa un second verre et le but d’un trait, il trinqua à la santé de ses amis…
Et ainsi de suite…
Au bout d’une heure la bouteille était vide, tandis que les joues de Fujimiya prenaient une teinte aussi écarlate que sa chevelure…
L’assassin buvait seul, regardant les autres convives s’amuser.
Il décida qu’il était temps pour lui qu’il s’en aille….
Tous ces gens heureux, à vrai dire le rendaient malade.
Tant bien que mal l’assassin se redressa et se dirigea vers le bar où il paya sa bouteille de saké après trois tentatives infructueuses pour récupérer l’argent dans la poche de son jean.
Lorsqu’il eut réussit ce tour de force, il se dirigea d’un pas plus que chancelant vers la sortie, sous le regard souriant des convives.
Ceux-ci ne s’étonnèrent pas de voir le roux dans un tel état.
Après tout, une nouvelle année commençait, il fallait donc fêter cela comme il se doit.

***********

Yohji marchait le long des rues.
Une nouvelle année s’annonçait….
Et rien n’avait changé…
Il avait pourtant prit de nouvelles résolutions…
Celles de faire ce qu’il n’avait pût ou oser faire durant l’année précédente.
Sa première résolution était d’avouer enfin ses sentiments à monsieur glaçon national, même s’il était conscient qu’il risquait de se faire jeter dès que les premiers mots franchiraient ses lèvres.
Aya risquait même de vouloir le transformer en sushi…
Mais peu importe !
Il avait décidé d’ouvrir son cœur à l’assassin froid et de tenter de dégeler le sien.
Malheureusement ses bonnes résolutions s’étaient envolées lorsqu’il était rentré au Koneko et qu’il avait trouvé celui-ci vide.
Déserté pour la nouvelle année.
Chaque membre était partit commencer celle-ci de son côté avec la personne de choix.
L’absence d’Aya signifiait qu’il s’était certainement trouvé quelqu’un avec qui commencer l’année.
Qui cela pouvait-il bien être ?
Certainement pas quelqu’un de leur connaissance, il l’aurait su.
Aucun de leurs compagnons, cela également il aurait été au courant.
Ce devait être quelqu’un qu’Aya soit avait connu il n’y avait pas longtemps ou que le roux ne souhaitait qu’ils connaissent.
Fort déçu, le blond enfila un manteau par-dessus son jean et son sweat shirt à colle roulé et quitta la boutique.
Il déambula dans les rues.
C’est ainsi qu’il commença la nouvelle année, seul et en dehors de sa maison.
Le blond était triste…
Il n’avait aucun ami avec qui passé cette nouvelle année ou du moins la commencer…
Aucune de ses fréquentations n’étaient libre ce jour là.
Début assez catastrophique en cette nouvelle année pour l’assassin blond.
Le jeune homme marchait lentement, ne sachant où il allait.
Alors qu’il passait devant un petit restaurant, il entendit des voix, des cris de joies.
Il en y avaient au moins qui savaient s’amuser.
Tandis qu’ils se faisait cette remarque, il se cogna à quelque chose.
Plus exactement à quelqu’un…
Le pauvre ne semblait apparemment pas tenir sur ses pieds.
Il s’écroula lamentablement au sol.
Yohji posa le regard sur l’individu.
Son regard s’agrandit de stupeur.
L’homme qui était affalé à ses pieds, n’était autre qu’Aya, l’homme de ses rêves.
- Aya ! s’écria t-il.
Mais que pouvait bien faire son compagnon en ces lieux ?
Pourquoi était-il seul ?
Pour quelle raison se trouvait-il au sol, dans une position presque comique.
Bien entendu il l’avait bousculé, cependant le roux ne paraissait pas dans son assiette.
- Mais que fais-tu au sol ? interrogea assez stupidement le blond, surpris.
- Très drôle ! ricana Aya. N’est-ce pas évident ! J’apprend à tomber élégamment, ironisa t-il.
Le blond le fixa surpris.
C’était bien la première fois qu’il voyait le roux faire de l’humour.
Était-ce l’une de ses nouvelles résolutions ?
C’est alors qu’il remarqua les joues rouges du leader, puis il sentit l’odeur du saké sur lui.
Il comprit.
- Aya ! Mais ma parole tu as bu, l’accusa t-il.
- Bien entendu que j’ai bu, comme tout ceux qui souhaites commencer en beauté une nouvelle année, ricana t-il. D’ailleurs qu’est-ce cela peut bien te faire ? N’a-t-on pas le droit de se laisser un peu aller ? s’énerva t-il presque.
Le blond fixa son cadet, surpris…
Le Aya qui parlait n’était pas celui qu’il connaissait.
Jamais ce dernier n’aurait proféré de telles paroles.
Était-ce l’alcool ou autre chose ?
Y avait-il eut substitution durant le passage de la nouvelle année ?
Le blond fronça les sourcils, puis pointa un doit accusateur vers le roux.
- Qui êtes-vous ? Et qu’avez-vous fait d’Aya ? s’écria t-il.
Le roux jeta un regard noir malgré son état d’ébriété avancé au blond, tout en tentant de se redresser, sans bien entendu y parvenir.
- Je trouve cela très hilarant, ironisa Fujimiya.
Yohji se pencha afin d’aider le roux, mais ce dernier le repoussa vivement, ce qui eut pour effet de le faire retomber au sol.
- Je suis parfaitement capable de me relever seul, s’écria t-il.
Il fit encore quelques tentatives assez infructueuses.
- Maudit sol ! s’énerva t-il. Pourquoi est-il si glissant ? continua t-il.
- Ne crois-tu que se sois toi qui ne parviens pas à tenir sur tes jambes, fit remarquer Yohji, un peu agacé par le manège de son ami.
Yohji se pencha puis saisit Aya à bras le corps pour le hisser sur son épaule comme s’il n’était qu’un vulgaire de sac de pommes de terre.
Le roux commença à se débattre.
- Mais ? Mais que fais-tu ? Vas-tu ma lâcher ? s’énerva t-il.
- Certainement, cependant uniquement lorsque nous seront arrivés à la maison, répondit le blond.
- Kudo ! Je t’ordonne de me lâcher immédiatement ! hurla Fujimiya.
- Voudrais-tu cesser de gesticuler ?! Si tu continue, tu risques de nous faire remarquer et d’ameuter toutes la ville, ironisa le blond.
Aya se débattit comme un beau diable afin que son ami le relâche, malheureusement celui-ci était beaucoup plus fort que lui.
- Je te hais Kudo ! hurla t-il, en capitulant.

Le roux était furieux.
Il se trouvait maintenant au Koneko, allongé sur le lit.
Yohji l’avait pratiquement trimbalé sur son épaule, jusqu’à chez eux.
Puis l’avait jeté brutalement sur le lit sans la moindre douceur.
Comment avait-il osé !
Yohji se tenait devant lui, les mains sur les hanches, une expression réprobatrice sur le visage.
- N’as-tu pas honte ? Te saouler ainsi pour la nouvelle année ? lui reprocha t-il. N’avais tu pas autre chose à faire ? s’écria t-il.
- Je suis assez grand pour savoir ce que je fais, répondit Aya d’une voix entrecoupée. Qui es-tu pour ?.....
Tout à coup, le roux mit précipitamment sa main devant sa bouche….
- Je ne me sens réellement pas bien, murmura t-il. Je crois que je vais être malade, se plaignit-il.
- Tu l’auras bien cherché, le sermonna l’assassin blond.
Le roux se redressa vivement, puis se traîna jusqu’à la salle de bain.
Là, il s’agenouilla devant la cuvette et renvoya tout ce qu’il avait bu, manger et qu’il n’avait pas ingurgité ou peut être même ce qu’il avait l’intention de boire et manger.
Yohji l’avait suivit.
En voyant l’état de son ami, il eut pitié.
Il se pencha et lui frotta gentiment le dos.
Puis s’étant assuré qu’il avait tout renvoyé, il l’aida à se lever et à se diriger vers le lavabo, où il lui brossa les dents comme à un enfant.
Ensuite, il le ramena jusqu’au lit où il l’allongea.
Aya ferma les yeux, puis les rouvrit et les referma.
- J’ai terriblement mal au crâne, se plaignit-il. Je ne me sens réellement mal, continua t-il.
- Cela n’est pas étonnant. Tu a certainement dû boire plus que de raison, je paris que tu as fait la conversation a une bouteille de saké entière ? N’ai-je pas raison, rigola le blond.
- Ze l’ignore à vrai dire, « zeuzeuta » le roux.
Yohji s’assit sur le lit, puis fixa son ami avec tendresse avant de lui caresser amoureusement la chevelure.
Fujimiya ouvrit les yeux, fixant d’un regard embrumé son compagnon.
Il referma presque immédiatement les yeux.
Malgré ce petit passage aux toilettes, Fujimiya avait toujours les joues aussi rouges.
Apparemment les vapeurs d’alcool faisaient encore effet…
Aya se mit à geindre doucement, puis il les rouvrit et regarda le blond.
- Pourquoi me fixes-tu ainsi ? demanda t-il tout à coup.
Yohji sursauta, ne s’étant pas aperçu de ce qu’il faisait.
- Que veux-tu dire ? interrogea t-il de mauvaise foi. Je ne te fixes pas, je m’assurais que tu allais bien, mentit le blond.
- Penses-tu que le faite que j’ai bu plus que de raison, m’ôte toutes es facultés, je vois pertinemment que tu es en train de baver sur moi, rigola Aya.
- Très amusant, ricana le blond. Il serait souhaitable que tu fasses une sieste, cela te rendra moins idiot, l’apostropha Yohji.
Yohji s’attendait à un regard noir, pourtant il rencontra des prunelles traversées par une lueur étrange.
Presque coquine.
- Une sieste ? Vraiment ? A vrai dire je songeais à quelque chose d’autre et je suis certain que toi aussi, continua le roux malicieusement.
Tout à coup, il se redressa et passa ses bras autour du cou de son ami.
Il se rapprocha de lui, puis prit passionnément ses lèvres entre les siennes.
Yohji, surpris ne réagit pas immédiatement, cependant, réalisant que celui qu’il aimait.
L’être qui faisait battre son cœur était tout simplement en train de l’embrasser, il commença à répondre aux sollicitations de ce dernier.
Ses lèvres s’entrouvrirent pour laisser passer une langue, vorace qui se mit à jouer avec la sienne.
C’était divin !
Aya se montrait particulièrement entreprenant.
Il s’allongea, attirant le blond à lui.
Leurs corps s’épousèrent sensuellement, réveillant en son ami des sensations, des sentiments enfouis…
Malgré cette douceur…
Ce désir qu’il éprouvait, ce bonheur qu’il ressentait à serrer l’homme qu’il aimait dans ses bras, Yohji repoussa doucement le roux.
Ce dernier, surpris lui jeta un regard de reproche.
- Qu’y a-t-il ? Pourquoi me repousses-tu ? s’écria t-il, furieux. Je sais, je sens que tu me désir, le nargua t-il.
- Je ne nierais pas mon désir vis-à-vis de toi, cependant je refuse de profiter de la situation, répondit l’assassin blond.
- Qui parle de profiter de la situation ? rétorqua Aya. Je te propose juste de nous détendre un peu, fit-il coquin. Si quelqu’un profite ici, c’est bien moi, dit-il suavement.
Le roux, repoussa de nouveau le blond contre le lit et s’installa sur son ventre.
Lentement, il commença à ôter son pull, avant de l’envoyer dans un coin de la pièce.
Puis il fixa longuement le blond aux fonds des yeux.
- Je te promet un nouvel an comme tu n’en as jamais connu mon bel assassin, susurra le roux, en faisant un sourire coquin.
- Yohji était conscient qu’en acceptant de prendre Aya alors qu’il se trouvait encore sous l’effet de l’alcool s’avérait être une énorme erreur.
Cependant, il ne pouvait résister à Fujimiya.
A l’appel de son corps…
Au désir de son cœur.
Il ne pouvait tout simplement pas lui résister.
Fermant, son esprit à toutes pensées négatives, le blond tendit les bras et attira le roux à lui…
- Les dés sont jetés, advienne que pourra, soupira t-il.

*************

Aya ouvrit péniblement les yeux.
Le soleil entrait dans la pièce et les rayons le frappaient de plein fouet.
Le roux avait la sensation que l’on sonnait l’angélus dans sa tête.
Il avait atrocement mal au crâne….
Que s’était-il passé ?
Quel jour était t-on ?
En quelle année ?
Surtout quelle heure était-il ?
A vrai dire il était complètement perdu.
Tant des questions qui apparemment risquaient de demeurer sans aucune réponse.
Le roux se tourna le plus délicatement possible afin de ne pas trop raviver la douleur.
Ses yeux s’ouvrirent de surprises….
Non !
C’était impossible !
Ca ne pouvait être réel….
Il n’était pas seul dans le lit…
Cette autre présence se trouvait être le Balenese.
Que faisait Yohji dans son lit ?
De surcroît nu…
Pourquoi lui ?
Qu’avaient-ils fait durant la nuit ?
Le roux ferma les yeux, refusant de croire à ce que lui démontrait la présence du blond.
Malheureusement, les souvenirs se mirent à affluer en son esprit et il réalisa qu’il n’était nullement en train de faire un cauchemar.
Il n’allait certainement pas s’éveiller, parce que ceci était bien réel.
Le rappel du comportement qui avait été le sien lui fit monter le rouge aux joues.
Le souvenir de la manière dont il s’était montré entreprenant et sensuel, fit s’accentuer sa rougeur.
Ces gestes…
Ses caresses…
Ceux du blond, tout lui revint en mémoire et Aya en eut honte.
Fujimiya se remémorait de quelle manière il s’était donné, qu’il avait supplié Kudo de le prendre plus fort et plus vite.
Seigneur quelle horreur !
Son comportement avait été celui de….
Sa rougeur n’eut plus de limite, tandis que les larmes lui montaient aux yeux.
Comment avait-il pu se comporter ainsi ?
Il devait immédiatement quitter cette chambre avant que Yohji ne s’éveille et ne lui pose d’embarrassantes questions.
Jamais il ne pourrait dans ces conditions affronter le regard de son ami.
Malheureusement pour lui, le Balenese était déjà réveillé et le fixait une lueur étrange dans le regard.
Aya jeta un regard honteux au blond, tandis que les larmes envahissaient yeux, prêtent à s’écouler sur ses joues.
Yohji comprit immédiatement les sentiments qui agitaient le Weiss.
La lueur qui éclairait son regard s’accentua jusqu’à devenir une expression de surprise.
- Aya ? Mais que fais-tu dans mon lit ? s’écria t-il.
Le roux le fixa étonné.
Avait-il bien entendu ?
Qu’arrivait-il à Yohji ?
Il paraissait encore plus étonné que lui de se trouver dans le même lit qu’Aya.
Se pourrait-il qu’il ait tout oublié ce qui s’était passé ?
L’espoir naquit en lui.
Tout n’était donc pas perdu ?
L’Abysinian se composa un masque froid, afin de dissimuler à son compagnon ce qu’il ressentait réellement.
- Dans ton lit ? Se serait plutôt à moi de te poser cette question. Je tiens à te signaler que tu te trouves dans ma chambre et dans mon lit, l’admonesta t-il soudainement.
- Pardon ?! s’écria, en se redressant d’un bond. Je suis navré, s’excusa t-il.
Le blond se gratta derrière la tête d’un air contrit.
- Je dois reconnaître que j’ai beaucoup trop bu hier soir et je n’ai aucun souvenir de ce qui bien pu se passer ! avoua t-il. J’espère seulement que j’ai su me tenir et que je ne t’ai fait aucune avance et n’ait rien tenté ? interrogea t-il.
Aya devint cramoisi.
- Euh… à vrai dire non, tu as été un parfait gentleman, mentit ce dernier.
Le blond poussa un soupire de soulagement.
Aya bizarrement trouva la réaction de son ami vexante.
La voix de Kudo le ramena à la réalité.
- Tu m’en vois ravit. Je ne vais donc pas te déranger plus longtemps, de manière à parvenir jusqu’à mes appartements en un seul morceau, plaisanta t-il.
L’Abysinian jeta un regard de la mort qui tue au Balenese.
Le blond se leva et sortit de la chambre nonchalamment.
Aya ne pu s’empêcher d’admirer le corps parfait de son compagnon.
Honteux de son comportement, il baissa les yeux, les joues rouges de honte.
De ce fait, il ne put voir le regard triste que lui lança Yohji.



A suivre …