Bonne Année Aya-kun
( Weiss Kreuz )





Titre :  Bonne Année Aya-kun
Auteur : Elfy
Chapitre : 2
Genre : Lisez et vous verrez ^^;
Couple :  « Aya X Yohji » - Oups pardon, Je vais me faire incendier par Val -Yohji X Aya
Disclamer :  A Part que c’est pour Val, je n’ai rien d’autre à dire.


Bonne Année Aya-kun

Aya assis sur le lit, fixait la porte qui venait de se refermer sur son compagnon de route.
Il poussa un soupir de soulagement. Dieu merci ! C’était un véritable miracle que Yohji n’ait plus aucun souvenir de la nuit précédente. Il n’en allait pas de même pour lui. Le roux gardait malgré la manière dont s’était déroulée cette soirée un souvenir impérissable.
Qu’allait-il bien pouvoir faire ? Jamais plus il n’oserait regarder le blond en face. Aya poussa soupire ennuyé. Quelle idée avait-il eut d’aller ainsi boire. Il était tout fait conscient de ne pas supporter l’alcool, malgré tout il n’avait rien trouvé de mieux que de se commander une bouteille de saké, de plus le grand modèle. Quel idiot ! Quel stupide idiot qu’il faisait ! Le roux se rallongea entre les draps…. Il enfuit son visage dans les replis de ceux-ci, à l’emplacement où se trouvait Yohji quelques minutes auparavant. Il ne pu s’empêcher de respirer le parfum de ce dernier.
C’était enivrant… Seigneur ! Que lui arrivait-il ? Il saisit l’oreille et se le mit sur la tête afin de dissimuler sa honte. Il aurait beau faire, se couvrir la tête avec des milliers d’oreillers, il était conscient qu’il ne parviendrait jamais à oublier cette nuit. Il revoyait sans cesse la soirée….
Se remémorait les caresses, les baisers échangés… Son corps ne parvenait pas à les oublier…. Il n’avait jamais ressentait une telle sensation dans les bras d’une femme. Il n’était jamais allé avec l’une d’elle cependant ce que lui avait fait éprouver Yohji était indescriptible. Sans le savoir, le Balenese l’avait marqué. Il ne pouvait ôter de son esprit, la déclaration que lui avait fait le blond…
Ce dernier au plus profond de leur étreinte lui avait murmuré ces deux mots : « Je t’aime »
Non ! C’était impossible !

***********

Yohji après avoir quitté la chambre s’était appuyé contre la porte. Quelle mouche l’avait piqué ?
Pourquoi avoir mentit et monter cette mise en scène d’amnésie concernant la soirée ? Contrairement à ce qu’il avait dit au roux, il gardait un souvenir merveilleux de cette soirée.
Chaque instant de celle-ci demeurerait à jamais gravé en sa mémoire mais également en son cœur. Il n’aurait jamais pu imaginer que l’assassin froid et dur qu’était Aya pouvait contenir un tel brasier en lui. Il s’était offert avec tant de passion ! Les sensations qu’avait éprouvé Kudo étaient inimaginables. La nuit dernière, il était parvenu à faire fondre l’iceberg qu’était Aya et à le transformer en un volcan de passion… Yohji ferma les yeux repensant aux caresses qu’ils avaient échangés… Il se rappelait d’un Aya entreprenant, quémandant plus, gémissant… Un Fujimiya qu’il n’avait jamais vu et dont il était d’avantage tombé amoureux. Il lui était impossible d’oublier les tendres mots qu’ils s’étaient murmurés. Surtout son aveu. Malheureusement, le roux n’avait apparemment plus aucun souvenir de cette merveilleuse soirée. Yohji poussa un soupire à fendre l’âme. Ses bonnes résolutions étaient finalement parties en fumée. Quel début d’année catastrophique ! De toute évidence, celle-ci s’annonçait encore plus mauvaise que la précédente et comptait continuer dans cette voie.


**********

Un mois fit suite cette inoubliable soirée pour les deux assassins. Ceux-ci prirent le parti de faire abstraction de ce qu’il avait éprouvé durant cette nuit de nouvel an. La vie reprit son cours normal, du moins en apparence. Le Koneko était toujours empli de jolies clientes. Le chiffre d’affaire semblait satisfaire Aya « monsieur j’ai un tiroir caisse à la place du cerveau ».
Même les missions avaient redoublés…. Cette année ne serait de toute évidence pas si épouvantable pour tout le monde. Malgré le déroulement simple de leur existence, Aya ne put s’empêcher de remarquer un changement radical, dans l’acceptation et l’exécution des missions de la part du Blond. A vrai dire ce dernier les acceptait toutes, de plus durant celles-ci il se montrait imprudent. Comme s’il était un simple débutant, ne cherchant pas à prendre des précautions.

Kudo avait la manie d’aller au devant de ses ennemis, comme s’il cherchait à être fauché par la mort. Si c’était l’une des ses résolution pour la nouvelle année, le roux trouvait cela passablement idiot et agaçant. Il ne mettait seulement sa vie en danger, mais également celle de ses compagnons. Les attaques désynchronisées qu’il portait, les forçait à sans cesse revoir leur plan d’attaque une fois sur le terrain. Au train où allaient les choses le Balenese n’allait certainement par tarder obtenir ce qu’il souhaitait. Peut importe ! Aya s’en fichait ! S’il recherchait la mort ? Grand bien lui fasse, il n’allait certainement pas s’apitoyer sur son sort. Sa dernière lubie consistait durant leur affrontement avec le Schwarz à littéralement se jeter sur l’arme préférée de Farfarello.
Il était évident que Yohji souhaitait que ce dernier le tue. Une besogne que serait fait un plaisir d’exécuter le Berseker. Il se voyait malheureusement à chaque fois arrêté par son leader, dans ces instant là, Aya du reconnaître qu’il était reconnaissait à ce dernier. Même s’il refusait de l’admettre.
Toutefois une telle situation ne pouvait s’éterniser ainsi et Fujimiya commençait à trouver ce petit manège agaçant. Il n’avait le choix qu’entre deux solutions.
Soit il laissait la Balenese mourir, soit il s’arrangeait pour avoir une sérieuse conversation avec afin de découvrir les raisons de son étrange comportement. Le blond semblait agir par désespoir, mais qui pouvait bien avoir rendu son compagnon de route malheureux ? Pour quelle raison s’inquiétait-il pour lui ? Aya réalisa surpris, qu’il s’était mis depuis cette fameuse soirée à s’intéresser à ce qui pouvait arriver à Kudo. Cette situation était intenable et ils ne pouvaient continuer ainsi.

La dernière cliente venait de quitter le magasin… Une excellente vente pour clôturer la journée et arracher un soupire de satisfaction à Aya. L’horloge du magasin marquait plus de vingt heures. Le roux terminait de faire les comptes tandis que Yohji achevait de ranger. A la grande surprise de tous, Fujimiya avait donné leur journée à Ken et Omi. Incrédules, ces derniers ne s’étaient pas fait priés. Cependant il avait réalisé que leur Leader n’agissait pas par bonté d’âme. Cette journée de vacance ils ne l’avait obtenue qu’uniquement parce le roux désirait demeurer seul avec quelqu’un en particulier et que leur présence risquait de gêner.

Yohji trouva l’attitude de son ami étrange, surtout que lui n’avait pas eut droit à cette fameuse journée. De toutes les manières il ne l’aurait pas accepté, néanmoins, le blond était perplexe. Qu’arrivait-il au Weiss ? Etait-il en train de changer ? Ou encore de se ramollir ? Peut être avait-il une fois de plus bu ? Peu importe ! Il n’avait plus envie de s’intéresser à ce que faisait Aya.
Cette nuit…. à vrai dire c’était le lendemain qui l’avait dégoûté des Aya Fujimiya définitivement
Yohji observait l’Abysinian. Il du reconnaître qu’il était adorable dans sa tenue décontracté et son tablier blanc, imprimés de lapin rose. Le blond ne pu empêcher à un sourire d’apparaître sur les lèvres. Il se rappelait parfaitement dans quelles circonstances il le lui avait offert. Un cadeau à l’occasion de son vingtième anniversaire. Il se rappelait également des remerciements qu’il avait reçu. « Un regard noir et un chapelet injures ». Habitué un mauvais caractère de son leader, Yohji s’était contenté de le taquiner. Quel individu étrange ! Il n’avait jamais depuis le jour où ce tablier lui avait été offert, porté celui-ci. Pourquoi aujourd’hui ? Quel message tentait-il de faire passer à Yohji ? A vrai dire le blond ne souhaitait en aucune manière connaître le contenu de celui-ci.
Le cas Aya Fujimiya n’était plus de son ressort. Yohji termina de ranger. Il ôta son tablier le rangea puis s’apprêtait à prendre la direction de sa chambre. La pièce dans laquelle il se réfugiait pour ne plus penser à tout cela mais surtout pour ne plus songer à Aya. Ne plus ressasser ce qui aurait pu arriver de merveilleux entre eux.

Yohji avait à peine monté quelques marches lorsque la voix de Fujimiya le stoppa.
- Un instant je te prie Kudo ! l’arrêta le roux.
Le Balinese, surpris s’arrêta à mis chemin. Il se tourna vers son vis-à-vis. Son regard dénué d’expression.
- Qu’y a-t-il Fujimiya ? répondit le blond sur le même ton.
- Il devient nécessaire que nous ayons une discussion, fut la réponse de l’Abysinian.
- Si tu y tien, rétorqua le blond. Cependant, je ne vois pas à quel propos.
- Vraiment, fit Aya qui sentait déjà la moutarde lui monter au nez.
Si Kudo continuait ainsi, il risquait sérieusement de perdre patience.
- Réellement, rétorqua le blond. Etant donné que tu es mon leader et que je ne peux décemment pas te désobéir, je t’écoute donc Fujimiya, soupira t-il.
Il était évident que le l’Abysinian agaçait le blond, qu’il aurait souhaité se trouver à des kilomètres, plutôt que de devoir discuter avec lui.
- Fort bien ! Finissons-en ! De quoi souhaites-tu me parler ? interrogea t-il sans grande conviction.
Fujimiya serra les poings, se retenant de frapper son compagnon. Quel goujat ! Même si le souvenir de leur nuit torride de nouvelle année avait été effacé, il pourrait se montrer un peu plus poli envers lui.
- Pas ici ! répondit Aya.
- Où désires-tu que nous ayons cette sérieuse discussion, ironisa le blond qui commençait à s’impatienter.
Le roux serra de nouveau les poings.
- Je souhaiterais que nous, nous rendions ta chambre, rétorqua Aya.
Yohji, surpris faillit dégringoler les quelques escaliers qu’il avait déjà escaladé en entendant la réponse du Weiss. Mais que lui arrivait-il ?
Etait-il suicidaire ?
Jamais il ne serait en mesure de lui résister s’il souhaitait discuter dans sa chambre.
Pourquoi n’avait-il pas choisi un lieu tout à fait neutre comme par exemple la cuisine.
La chambre était un endroit assez délicat à vrai dire. Que se soit la sienne ou celle du roux. Fujimiya remarqua l’expression presque douloureuse qu’affichait le blond.
- Que se passe t-il ? Aurais-tu peur de te retrouver seul avec moi dans ta propre chambre, ironisa Fujimiya.
- Ce que tu peux être idiot ! l’insulta t-il. Parfait, allons dans ma chambre, je pense que nous serons mieux.
Aya faisait le fier, cependant il n’en menait pas large. Il était un peu inquiet de la conversation qu’il allait devoir entamer avec le blond. En silence, les deux assassins gravirent les escaliers, puis pénétrèrent dans la chambre.
- Désires-tu une chaise ? demanda Yohji un fois à l’intérieur.
- Je vais me contenter du lit, répondit Aya.
Il s’assit à l’extrême bout de celui, puis passa une jambe par-dessus l’autre. Puis il les décroisa et les recroisa nerveusement.
- Dis-moi, qu’avais-tu de si important à me dire ? interrogea le blond.
Aya prit une grande inspiration.
- Je souhaitais juste savoir à quoi tu jouais ? interrogea t-il.
- Pardon ? Que veux-tu dire par là ? interrogea t-il.
- Me prends-tu pour un idiot ? Crois-tu que je n’ai pas remarqué ton petit manège ? Celui où tu fais tout pour que l’on te tue durant les missions ? s’écria Aya.
- Je ne vois pas où se situe le problème après tout, je n’ai blessé personne et la seule personne qui risque d’en partir ne sera que moi, continua le blond.
- Baka ! s’écria Aya. Réalises-tu que ton comportement pourrait coûter la vie à l’un de nous ? hurla t-il.
- Pardon ? Je n’ai jamais demandé à aucun d’entre vous de me suivre ! s’énerva le blond.
- Aurais-tu oublié que nous sommes sensé être une équipe soudée. En agissant de la sorte, c’est toute notre stratégie de terrain que tu chamboules ce qui nous force à improviser pour tenter de demeurer en vie, hurla Aya.
Yohji ricana puis renifla de manière dédaigneuse.
- Il est inutile d’utiliser cette histoire de désorganisation du groupe durant les missions. Tout ceci n’est en fait qu’un écran de fumée. Si tu me donnais la vraie raison de tout ceci, lâcha le Balenese.
- La véritable raison est que de nombreuses personnes s’inquiètent pour toi ! avoua Fujimiya.
Yohji renifla.
- Grand bien leur fasse dans ce cas, je n’ai nullement besoin de leur pitié ou de leur condescendance, rétorqua Yohji.
Aya serra les poings. Pourquoi avait-il la sensation que cette phrase lui était personnellement destinée. Furieux, il se tourna vers le blond et le gifla violemment.
- Comment peux-tu parler ainsi ? s’écria t-il.
- Et toi comment oses tu me frapper ? s’énerva Yohji.
- Je fais ce que je veux pauvre idiot ! Aveugle et imbu de sa personne, incapable de voir plus loin que le bout de son nez, s’énerva le roux.
- Comment oses-tu me traiter ainsi, toi qui te donne passionnément durant une nuit et qui oublie presque aussitôt ce qui s’est passé ! hurla le blond.
Aya eut un mouvement de recule. Ainsi il se rappelait de tout ! Dans ce cas pourquoi ne lui avoir rien dit ?
- Comment ? Mais c’est toi qui a oublié….., commença t-il.
Le roux s’était interrompu, ayant réalisé la pleine signification des paroles de son compagnon de route.
- Tu n’avais donc rien oublié ? l’accusa t-il. Tu as fait semblant ! Pourquoi ? Pourquoi ? hurla t-il.
- Lorsque tu t’es offert à moi, j’étais conscient que je faisais une erreur. Je n’ai malheureusement pu résister à l’appel de ton corps. A celui de mon cœur, avoua le blond.
- Pourquoi ? Pourquoi as-tu fait cela ? répéta t-il. Est-ce un jeu pour toi ? Tu m’as laissé mentir, m’enfoncer dans mon mensonge. Je paris que tu devais te régaler ? ironisa le roux.
- Espèce d’idiot ! Ne comprends-tu pas que ce que j’ai fait, je l’ai fait par amour. J’ai vu l’expression de ton visage, j’ai comprit les sentiments qui t’agitaient. Ca avait été la plus belle, la plus merveilleuse soirée de ma vie, cependant pour toi j’ai vite réalisé que c’était une catastrophe, une honte et que jamais tu ne supporterais de me regarder en face, si je t’avouais la vérité. Alors oui, j’ai mentit ! J’ai feins d’avoir oublié afin que tu ne te sens pas gêné vis-à-vis de moi, expliqua.
- Comment as-tu osé décider ainsi pour moi, je ne t’ai jamais demandé de me protéger, s’écria Aya.
- C’est exact tu ne m’as rien demandé, cependant j’ai jugé utile de la faire. Néanmoins je regrette mon geste. Parce qu’en fait tu n’es qu’un égoïste, s’écria Yohji. J’en ai vraiment marre de devoir te supporter, ainsi que tes sautes d’humeur. Je m’en vais ! hurla t-il.
- Baka, tu te trouves dans ta chambre ! C’est moi qui vais m’en aller, s’énerva Fujimiya.
- Il est inutile de te donner cette peine cher Leader. Je ne quitte pas cette chambre. En fait je quitte le groupe, la maison. Tu vas devoir faire sans moi, s’écria t-il.
Puis il se redressa furieux sur le lit et se dirigea vers l’armoire d’où il sortit deux valises qu’il jeta pratiquement sur le lit. Puis il les ouvrit et commença à entasser ses vêtements de manière très brutale.

Aya était tétanisé par ce que venait de lui dire le blond. Non, Non ! C’était impossible, il ne pouvait pas s’en aller !
Pas après….
Après la découverte qu’il venait de faire. Aya se redressa brusquement !
- Tu ne peux pas t’en allez ainsi ! s’écria t-il.
- Penses-tu que je vais me gêner ! le défia le Balinese. T’imagines-tu avoir des droits sur moi.
- Je reconnais que je n’en ais aucun, cependant tu en possède sur moi, sur mon cœur. Après cette nuit que nous avons passé ensemble, comment veux-tu que tu n’en possèdes pas, s’écria le roux.
Tétanisé, Yohji ne parvenait pas à faire le moindre geste. Avait-il bien entendu ? Aya venait de lui faire une déclaration ?
- Aya je…, commença le blond.
Paniqué à l’idée qu’il venait de se dévoiler, le roux fit volte face et se jeta sur la porte pour l’ouvrir dans une tentative pour battre en retraite… L’assassin blond, fit volte face à son tour et d’un geste rapide l’arrêta. Il le saisit par la taille et l’obligea à lui faire face en le plaquant contre la porte.
Il plongea son regard vert dans l’améthyste de celui de l’Abyssinian.
- Est-ce vrai ce que tu viens de dire ? interrogea t-il.
Le roux baissa les yeux, ses yeux rouges de honte. Puis il les releva et fixa Yohji.
- Oui, souffla t-il.
Un sourire radieux éclaira le visage du blond.
- Cela veut-il dire que ce premier jour de l’année a été aussi inoubliable pour toi que pour moi ? interrogea t-il.
Aya rougit de plus bel, puis avança son visage, il prit passionnément les lèvres de son ami.
Qui, d’abord surpris demeura sans réagir avant de répondre avec feu à celui-ci.
Aya sépara leurs lèvres, puis fixa ce dernier.
- Cela répond t-il à ta question ? demanda Fujimiya malicieusement.
- Hum, éluda son compagnon. A vrai dire pas réellement, répondit ce dernier. Il me faudrait des arguments plus convainquant, comme une nuit de nouvel an torride, dit-il.
Aya rougit violemment.
- Je veux être certain de ne rien perdre de ce que tu me diras, que te me feras et que je te ferais. Cette fois-ci il n’y aura aucune bouteille de saké entre nous, murmura t-il.
Puis il se pencha pour embrasser tendrement le cou du roux, tandis que ses mains, commençait lentement à remonter sous son t-shirt pour trouver deux petits bouts de chaires brunes qu’elles saisirent pour taquiner et effleurer.
- Non, il n’y aura personne entre nous aujourd’hui, susurra t-il.
- Personne, répondit Aya en écho, en poussant un gémissement de plaisir. Juste nous, haleta t-il.
- Oui, répondit Yohji et ce joli tablier blanc, fit-il malicieusement, faisant le roux rougir.

 

Owari